Article rédigé et vécu de l’intérieur par MsLaurane

Disclaimer : ceci n’est pas un article objectif puisque j’ai beaucoup trop kiffé que pour en voir les défauts.

NCF Summit, c’est un évènement d’un nouveau genre. À la fois, une parenthèse sur le présent et un saut dans le futur. Ça doit d’ailleurs sembler un rien tapé vu de l’extérieur : une foule d’illuminés célébrant l’avènement d’une nouvelle technologie et s’extasiant devant des images (parfois animées, bien sûr) affichées sur des écrans ultra high-tech. En langage NFT, on appelle ça « une bande de degens occupés à FOMO sur du crypto art ». La normie que j’étais il y a encore six mois n’en n’aurait pas cru ses yeux.

À vrai dire, c’est mon tout premier évent NFT. L’excitation est à son ATH. Grâce aux copains de Cryptosquare, je me suis infiltrée en mode « volontaire » pour vivre l’évènement depuis son épicentre. C’est ainsi que quelques jours avant le coup d’envoi, je me retrouve à arpenter les splendides salles encore vides du Pavillon Carlos Lopes collée à l’équipe de production menée avec brio par l’homme derrière la voix d’NFT Morning, John Karp. Je cligne ensuite deux trois fois des yeux, remplis 1500 swag bags, et tout est en place, prêt à accueillir la commu NFT en provenance du monde entier.

WIP Exhibition Hall. ©Lil B.

DAIARA team. ©Lil B.

L’architecture ancienne et singulière du Pavillon matche tellement bien avec la cyber- atmosphère du monde NFT. Chaque salle est un pôle d’activités à part entière, animée à coups d’activations délirantes et de talks super pointus donnés par les géants de l’industrie Web3. Je suis ainsi passée de ‘sans voix’ lors du talk en hommage à Alotta Money donné par Carlos Marcial (Cult Crypto Art) et Benoit Couty (MOCA) dans la salle de conférence principale à ultra emballée pendant les NFT Battles organisés par Wallkanda dans la Playground. J’ai eu envie de danser lors du talk RAVERSE. Puis, j’ai vraiment dansé, un cocktail à la main, pendant le set d’Arthr.

Sans parler du nouveau concept de ‘shopping NFT’. Le principe étant de se balader, Metamask mobile à la main, et de choper tout ce qui passe. Absolument tout. Et quand il est parfois temps de se poser un peu avec les nouveaux frens, rendez-vous au living- room pour admirer les collection World Of Women sur les écrans Infinite Objects. Un petit bijou de technologie, btw.

Puis, dans ce cocktail explosif de technologie blockchain, il y a l’art, ou plutôt le crypto art. Ce mouvement artistique qui détonne, étonne, questionne... et énerve certains rageux. Mais qui à la fois, rend les choses plus douces, accessibles et plus fun, tout simplement ! Pour une première fois, j’en prends juste plein la vue. La crème de la crème de la curation par Ephemeral Ethernal, Institut, Vertical Crypto Art,... pour n’en citer que certains.

Puis, admirer les œuvres des OG IRL, c’est bien plus palpitant que sur mon écran de téléphone. J’ai enfin compris comment Pak a pu générer $91M en une seule vente NFTs (Merge).

Art Gallery, Otherworld’s showcase. ©Institut

Je ne peux pas terminer cet article sans mentionner l’incroyable Jungle Party organisée par The Sandbox et Party Degenerate. Les deux jours d’évent se terminent donc en tapant du pied sur du gros son techno lors de cette soirée de clôture complètement délirante. « WAGMI, WAGMI, WAGMI », scande la foule au rythme du beat de Damian Lazarus et Agoria. En vrai, ça c’est dans ma tête, mais c’était tout comme...

Bref, NFC, c’était de la bombe. J’en ai vu des choses et connu un bon nombre d’émotions extrêmes. Mes potes belges m’étrangleraient s’ils venaient à lire ça (ce qui ne risque pas d’arriver puisqu’ils n’y comprennent rien) ... mais y’a pas NFTphoto, les Français du Web3 dé-chi-rent tout !

GG à la team : John, Dorothée, Maria, Max, Laura, Jen, Leila, Natasha, Michelle, Monica, Arthur et Piotr. C’était le feu 🔥